Ravitaillement #22

C’est l’heure du nouveau ravitaillement!
Ce mois-ci j’ai encore opté pour un méli-mélo de genres avec du roman feel-good, de la saga jeunesse et un roman qui parle d’amour.

« L’irrésistible histoire du Café Myrtille » de Mary Simses ( chez Pocket ).

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Le résumé: Ellen Branford, jeune et brillante avocate, mène une vie affairée à New York. Pour exaucer les dernières volontés de sa grand-mère, elle se rend à Beacon, minuscule ville côtière du Maine. Elle doit y retrouver l’amour de jeunesse de son aïeule et lui remettre une lettre. L’affaire d’une journée, pense-t-elle…
Mais rien ne va se passer comme prévu: à peine arrivée, Ellen tombe d’un ponton et manque de se noyer. La photo de son sauvetage par un certain Roy fait la une du journal local. Le destinataire de la lettre reste introuvable. Et le passé de sa grand-mère recèle ce qu’Ellen n’aurait jamais pu imaginer. Alors que son séjour se prolonge, la jeune femme se met à douter des choix qu’elle a faits jusqu’ici et qui lui semblaient si solides. A-t-elle vraiment la vie dont elle rêvait? 

La plupart du temps j’ajoute des livres à ma wishlist après avoir parcouru le fil des dernières critiques postées sur Livraddict ou lu des avis sur des sites ou des blogs mais, de temps en temps, je flâne au hasard sur des librairies en ligne dans la section « nouveautés » et je me laisse porter de découverte en découverte. C’est de cette façon, un peu au hasard donc, que je suis tombée sur « L’irrésistible histoire du Café Myrtille » et que je l’ai mis dans mon panier.
J’avais envie d’une lecture feel-good, empreint d’une certaine légèreté et, cerise sur le gâteau, avec un petit suspens familial à la clé ( c’est en général assez efficace pour passer un bon moment ).

« Le secret de l’Épouvanteur » de Joseph Delaney ( chez Bayard Jeunesse ).

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Le résumé: Alors que le froid se fait plus vif, l’Épouvanteur reçoit un message qui semble grandement le perturber. Il décide aussitôt de quitter Chipenden pour se rendre dans sa maison d’hiver, à Anglezarke. La vieille demeure est lugubre : dans les profondeurs obscures de ses caves sont enfermées des sorcières et des gobelins. Quant au mystérieux auteur de la lettre, qui rôde dans les parages, il se révèle être l’ennemi juré de John Gregory. Au cours de longs mois d’hiver, Tom découvre peu à peu le passé caché de son maître… 

L’occasion que j’ai eue de découvrir le premier tome de la nouvelle saga de Joseph Delaney, « Aberrations, le réveil des monstres », m’a donné envie de poursuivre ma lecture de « L’Épouvanteur ». J’avais envie de me replonger dans cet univers sombre et délicieusement angoissant et d’en apprendre plus sur le destin de Thomas ( et je pense que ces livres ont une chance de séduire MiniJuin plus tard ). J’ai donc ajouté à ma PAL le tome 3; je suis à peu près certaine de passer un bon moment en sa compagnie.

« Vera » de Karl Geary ( chez Rivages Poche ).

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Le résumé: Sonny est un jeune Irlandais de seize ans. Bien sûr, il veut échapper au destin sans horizon qui l’attend. Lorsqu’il croise le regard de Vera, sa beauté lui donne immédiatement le vertige. Elle vit dans les quartiers chics de Dublin, dans un monde étranger à Sonny. Elle ne dit jamais son âge. Elle parle peu. Mais elle sait l’écouter comme personne ne l’a jamais fait. Vera et Sonny vont vivre une histoire. Intense, dévastatrice et sublime. On sait dès les premiers gestes de tendresse que l’état de grâce ne peut durer, mais on est emporté par la puissance émotionnelle de ce roman, magnifique chant d’amour.

Avec « Vera » je poursuis ma découverte de la littérature irlandaise; ce titre était dans ma wishlist depuis un bon moment déjà, il était temps qu’il en sorte pour rejoindre ma PAL.
Le thème d’un amour impossible entre deux personnages que tout oppose m’a séduite d’emblée et, je dois bien l’avouer, je trouve la couverture magnifique. Et comme je n’ai jamais rien lu de Karl Geary donc ce sera une totale découverte.

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